Les récents travaux en neurosciences apportent un éclairage nouveau sur le développement du cerveau de l’enfant : ils mettent en lumière l’importance du rôle des réflexes archaïques dans la construction physiologique, émotionnelle et cognitive du cerveau et du système nerveux.

La non-intégration de ces réflexes (qui devraient être intégrés avant 3 ans) participe à l’apparition de nombreux troubles : les « dys » (dyspraxie, dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, etc.), les TDA, les TDAH, la coordination oculomotrice, les difficultés de convergence oculaire, la posture, etc.

L’identification et le dépistage des réflexes persistants ou hypoactifs permettront, à titre préventif, à de nombreux professionnels de la santé de contribuer significativement à la diminution de ces différentes difficultés.

Que sont les réflexes ? Quelles sont les conséquences de leur non-intégration pour l’apprentissage ? Comment favoriser leur intégration pour un mieux-être ? Telles sont les questions qui organiseront cet atelier de deux demi-journées.